Jack Nemesis Démon Niveau I
Feuille de personnage Race: Démon Camp: Le plus maléfique Spécialité:
| Sujet: Ferme bien ta porte, je suis peut-être déjà là Sam 25 Aoû - 11:05 | |
| Codage by Maak sur Yin and Yang Power Jack Nemesis Nom :Nemesis Prénom :Jack Surnom :Jacky Sexe :Masculin Age (réel et en apparence) :une vingtaine en apparence Race :Démon Spécialité :-Agilité : 7 - Force : 7 - Charisme : 6 - Intelligence : 3 - Magie : 2 Métier :Bourreau Armes :Un sabre et des morceaux de verres attachés à un fil qu'il met sur les mains (Des poings américains en gros ^^) Pouvoirs :- Réveil morts - Vitesse accrue - Contrôle du feu - Léviter (Ou voler) -Peau de pierre : Il peut rendre sa peau aussi dur que de la pierre, mais ça ne dur que peu de temps et les dégât reçu sont ressentit à la fin de l'utilisation - Instinct animal : Transforme son épée et deux griffes géante. Il ne peut les utiliser qu'une fois chacune et cette attaque utilise toute son énergie, même s'il sait la manier.
Pouvoir de niveau 2- Ne pas compléter = (N/A) Pouvoir de niveau 3- N/A Pouvoir de niveau 4- N/A Pouvoir de niveau 5- N/A Particularité :Votre texte ici Gains Gains de lieuxVotre texte ici Gains de quêtesVotre texte ici Gains de HRPVotre texte ici Description J'ai la classe Qu'est-ce que vous foutez ici ? Vous voulez que je vous explose la colonne vertébrale ? Ça serait tellement facile. Mais je ne pense pas que vous êtes ici pour vous faire démolir si ? Non bien sûr.
Question physique, il ne faut pas chercher plus loin. Un corps parfait comme pourrait dire certaine. Un mètre quatre-vingt-dix fait que de muscle. De longues jambes, des bras encore plus gros qu'une poutre, celui qui se prend un coup n'a plus de dent. Ma peau n'est pas pâle, mais elle est loin d'être brune. Elle grave le sang de mes victimes. Mais ce n'est pas la seule partit de mon corps qui a été un jour tâché de sang. Mes cheveux, d'un bleu étrange, n'ont jamais été teintés. Pourtant, un jour, ils ont été souillés du sang d'une femme. Des yeux bleus. Mais ne vous fier pas aux apparences. Certains disent que les yeux bleus sont la preuve d'nue âme pure, mais c'est loin d'être mon cas. Ils ont tellement vu d'atrocité qu'ils n'expriment à présent que la folie qui me ronge. Tout comme mon visage. Mes dent's blanches sont souvent à l'air libre. Je suis devenu tellement sadique que je ne peux m'empêche de sourire tellement que mes dent's sortent ! Et vous vous demandez sûrement ce qui est arrivé à ma mâchoire n'est-ce pas ? Pourquoi j'ai une prothèse en os ? Et bien au risque de vous décevoir, ce n'en est pas une.
Les vêtements ? Je ne m'en soucis pas. Que je me balade habillé ou a poil, de toute façon ça ne change rien. Parce que vous n'y passerez pas longtemps à regarder si je suis là. Mais le plus souvent, je garde mes affaires. Un manteau blanc aux contours noirs, toujours ouvert au niveau de mon torse. Je retrousse mes manches pour dégager mes poignets. Si on fait dans l'ordre, après il y a mon pantalon qui est exactement pareil. Blanc aux bords noirs. Ma ceinture n'est là que pour tenir mon sabre. Autour du manche de mon sabre sont enroulés mes deux autres armes. Et pour finir, des chaussures noires, sale. Tachés de tous ce qu'on veut savoir. De la terre, du sang et bien d'autre chose.
Complètement malade ? Vous avez déjà rencontré l'un de ses malades qui se balades dans la rue à la recherche de chair fraîche ? Et bien imaginez cette personne en dix fois pire. Moi.
Dans le genre sadique, vous cherchez le pire ? Vous faites bien de lire cette fiche alors. J'appelle ça de la folie, mais certains disent que ce n'est juste qu'une affreuse manie. Une manie qui consiste à rire à tout ce qui n'est pas drôle. La mort, la souffrance, la tristesse des autres, tout ça me fait sourire. D'un sadisme assez franc en plus. Malgré ça, il y a des moments où je ne souris pas comme ça. Des moments...Calmes. Où je pense toujours à ce qui se passerait si je n'étais pas un démon. Si j'aurais fais de grande chose en tant qu'ange ou je ne sais quoi d'autre. Puis je retrouve mon envi de tuer et je trouve un village. Bien que j'en ai l'air, la tuerie n'est pas mon fort. Enfin, j'en ai fais plusieurs, mais je sais "assassiner." Lorsque j'ai envie de faire le mal, je le fais avec finesse. Me cacher dans la chambre d'un enfant et attendre que ses parents se disputent dans leur chambre pour lui bondir dessus. Pour le tuer évidemment ! Vous alliez vous faire des idées encore.
Par contre, je ne fais pas semblant d'être gentil. Il ne faut pas rêver, je ne me rabaisse pas autant. Je peux rapidement m'énerver, je suis comme le feu. Et, même si mon esprit sadique s'efface, ça n'assure pas une survie. Me mettre en colère n'est pas conseillé, c'est même très déconseillé. Je ne me contrôle plus une fois en colère. Comme une folie qui s'empare de moi. Et une envie de meurtre surtout. La seule chose que je vous conseil lorsque vous me voyez, que je sois énervé ou calme, fuyez. Prenez la poudre d'escampette. Et ne vous retournez pas, surtout pas.
Histoire
Ça vous dérange si je ne veux pas parler de mon passé ? Et puis j'en ai rien à battre de votre avis, je me casse. Suivez moi et je vous arrache la colonne avec mes mains.
Ça fait beaucoup trop longtemps que j'essaye d'oublier ce paisible village où on m'avait recueillit. C'était un endroit assez glauque quand on y pense. Dans une forêt perdu, il se trouvait là. Les barricades faites avec des arbres taillés en pointe. Il n'y a qu'une seule route pour y entrer, et elle passait au milieu d'une rangée de tours où se trouvait un archer dans chacune. Après cela, il y avait la grande place, une fontaine asséchée au milieu. La forge à gauche, l'auberge à droite et en continuant, on trouvait les habitations. Un grand bâtiment se dessinait ensuite comme étant la mairie et derrière, bien caché, on avait l'orphelinat. Et bien sûr, vous devez vous doutez que c'est là-bas que je suis tombé. Démons, mes parents ne voulaient pas de moi. Alors ils m'ont largué quelque part dans une forêt. Et j'ai effectivement été ramené au village. Pour le moment ça fait cliché, mais devinez qui m'a trouvé. Un ange. Oui, je déconne pas. Il a sûrement dû voir mon aura démoniaque, mais il m'a prit quand même. Pendant un moment, j'ai vécu à l'orphelinat où je terrorisais tout le monde sans rien n'avoir fait. Une fois assez grand, l'ange m'adopta définitivement et m'enseigna les lois, la justices, la vertus et toutes ces mer*es. Mais on ne me change pas. J'ai été engendré par le plaisir de deux démons, des purs. Mon sang est noir. La seule chose que j'ai gardé de ses enseignements, c'était de toujours garder des traces de ma défaite.
A un âge assez avancé, derrière le dos de mon "père", je regardais ma déchéance devenir encore plus maléfique. Je commençais à faire peur aux adultes à présent. Seulement parce que j'avais éventré une vache malade ! On m'avait dit qu'elle ne tiendrait plus longtemps mais qu'ils n'avaient pas les moyens de l'amener à un abattoir. Alors moi j'y suis allé ! Je me suis dis que je pourrais faire une bonne action. En plus de sentir le sang de la bête couler le long de mon bras ! Ses gémissements m'énervaient ! Ils me faisaient mal à la tête. Et au lieu de la regarder agoniser, je fit en sorte de ne plus entendre ses râlements de vaches stupides. Et la nouvelle s'est rependu comme une traîné de poudre ! J'eu à peine le temps de me laver dans l'eau du lac que tout les habitants savaient déjà ce qui était arrivé à Isabelle. Comment pouvais-je faire pour regagner leur confiance ? Seul l'ange croyait en mon histoire, sous prétexte qu'il m'avait apprit à ne pas mentir. Et ce fut ce jour-là, le jour où en s'abstenant de me hurler dessus, quand il se mit la ville à dos, que je prit conscience de sa naïveté, et je comptais en profité. Malheureusement, je n'en eu pas vraiment le temps.
Comme cela avait été amusant ! Je l'avais caché, mais ôté la vie de cette vache alors qu'elle avait encore un mois à vivre fut sûrement le plus grand plaisir de ma vie après le ragoût aux légumes de mon père adoptif. J'arrivais à cacher les envies de meurtres qui grandissaient en moi. Mais un jour, je pu enfin les libérer. Montrer au monde entier le vrai visage de Jack. Effectivement, le meurtre de l'animal avait attiré quelques foudres sur mon compte, et beaucoup de monde voulaient m’expulser du village. Par contre, une bande de jeune trouvait que cela ne suffisait pas, qu'il fallait envoyer ce "suppôt de Satan" en enfer. Au bûcher. Au casse-pipe. Mais ce serait tuer, et personne ne voulait de meurtre. Sauf les trois gamins. Alors, un jour où j'allais dans les bois pour chasser, il me prirent à l'écart pour "m'apprendre la vie", comme ils disaient. Ils avaient prit des chaines et des morceaux de bâton pointus, il faut dire qu'ils n'étaient pas discret. J'avais refusé de les suivre, mais j'étais déjà loin de la maison. Alors ils m'attaquèrent. Un coup de chaîne en pleine poire me laissa un peu surpris. Les coups de poings, je ne les sentais pas. Les coups de chaînes en métal me faisait des fois souffrir. A un tel point que je posais un genoux par terre. Je fini par cracher mon sang à la je ne sais combientième blessures. Mais alors qu'il allait donner un coup, sûrement le dernier avant de me laisser me vider de mon sang dans la forêt, je me rappelais lentement de ce qu'on m'avait apprit. Toujours garder un souvenir de ma défaite.
Alors j'attrapais de mon bras fébrile la chaîne...Avant de la briser en deux. Mon corps tremblant sous les blessures, j'attrapais le propriétaire de cette arme et lui collait mes poings sur la figure jusqu'à ce que son nez devienne tellement rouge qu'il en pissait dans son froc. Je me délectais de sa peur alors qu'il ne le savait même pas. Ses amis avaient déjà fuit comme des lâche. Et, sa tête au creux de mes mains, je l'envoyais contre l'arbre. Mais ce ne s'est pas passé comme dans les combats qu'on raconte aux enfants. Il ne passa pas à travers. Non, le bois fut recouvert de son sang. Ma respiration était au maximum, mon corps entier tremblait soit de douleur, soit de plaisir. Le plaisir de sentir son sang éclater sur moi. Mes mains était recouvertes de ses os. J'éclatais de rire, un rire que même la vieille dame endormit du village entendit. J'eu à peine le temps de ramasser les deux morceaux de chaîne qu'on me frappa à la nuque. Tellement fort, que j'en tombais dans les pommes; Quelle soirée...Bien arrosé.
Je me souviens maintenant...Difficilement, mais je me rappelle quelque chose. J'étais couché dans la forêt, au milieu de nul part. Lorsque j'ouvris les yeux, rien. Il n'y avait pas de village, pas de sang, rien. Je me rappelle avoir poussé un soupire. Sauf que le souffle que j'avais dégagé s'infiltra dans les narines d'une autre présence que moi. Lorsque je sentis des grognements, je m'étais tout de suite réjouit. Enfin du gibier à tuer m'étais-je dis. Et je me préparais à tous les exterminer. Après tout, j'avais explosé le crâne d'un adolescent sur un arbre, pourquoi n'arriverais-je pas à faire pareil avec un fauve ? Ou même plusieurs. Plus je voyais le nombre de prédateurs se multiplier, plus mon sourire s'étendait jusqu'à ce qu'il ai prit la totalité de mon visage. Des panthères tournaient autours de moi, leur pelage noir soufflant au gré du vent. Leur soif de sang n'était pas assez grande, même réunie, pour égaler la mienne. J'avais envie de tous les tuer, sans utiliser l'épée qui était apparue là par hasard. Je compris plus tard que mon "père" me l'avait remit pour me défendre.
Je possédais aussi les morceaux de chaines que j'avais arraché à mon attaquant avant de lui bousiller la boite crâniène sur l'arbre. Je décidais de faire de ces souvenirs une arme, au sens propre. Dans mon rire fou, j'enroulais le métal autour de mes poings, de nouvelles armes de pugilat. Maintenant paré au combat, j'étais prêt à me jeter dans la meute pour réduire leur os en poudre. Mais quelqu'un me prit de court. Une autre de ces bêtes se retourna contre ses "soeurs". Mais cette panthère était dans une lourde armure blanche et son regard était effrayant, pour quelqu'un d'autre que moi. Celle-ci déchiqueta toutes ses ennemies et était même prête à me faire la peau. Et ses griffes rencontrèrent mes poings une multitudes de fois. Au final, aucun de nous n'avait le dessus. Nous étions tout deux ensanglanté. Des morceaux de son armure éparpillaient le sol, rejoignant la chair qu'elle m'avait enlevé pendant le combat. Et je crois bien que c'est à ce moment là qu'elle a décidé de m'aider à me venger.
Me voilà de retour. Devant la porte en bois fermé du village, je me tenais là. Pantera était à mes côté, tout crocs dehors. Je regardais pour la dernière fois les remparts de mon ancien chez moi. Parce que lorsque le soleil pointera son nez, il n'y aura plus rien. Ils allaient voir ce que c'est de n'avoir plus personne chez qui se protéger. D'un coup de pied, je fis ouvrir les portes de l'enfer. (Je met la suite en spoiler, au cas où :D)
- Spoiler:
Grâce à une vitesse surhumaine que ma race m'avait donné, je pu passer les deux première tours me faire toucher. Pourquoi seulement les deux ? Parce que j'entrais dans une. Mon poing entouré de métal s'écrasa sur la figure de l'archer. Je lui prit son arc, me servant de son corps évanouie comme bouclier humain. Et pour tirer les flèches, rien de plus facile. Je tirais à travers les yeux. Derrière sa nuque, mes flèches traversaient son crâne et allaient tuer mes adversaires. Une fois les archers morts, je jetais le corps de la tour et descendait. Pantéra avait déjà fait le ménage parmi les premier soldat. Les nouveaux qu'ils mettaient en première ligne. Les plus expérimentés, en grand nombres, arrivaient. Je lançais un regard complice à ma panthère avant de me jeter dans le tas. Une tuerie je vous dis. Des coups se perdaient. Les crocs de "ma" bête arrachaient, déchiquetaient et arrivaient parfois à décapiter. Beaucoup de têtes sont tombés ce soir là. Mon épée, mes poings et tout le reste de ce que j'étais était souillé du sang de mes victimes. Tout les guerriers étaient mort en deux bonnes heures. Et maintenant les femmes et enfants, les vieux et vieilles se dirigeaient tous vers la marie, croyant en la sécurité.
Mais alors que je suivais la foule qui me fuyait, je remarquais que pantéra était en train de dégusté un bébé. La mère étant trop choqué pour intervenir, j'usai alors de mon feu, que je puisais dans les torches, pour faire rejoindre son enfant. J'étais gentil finalement. Elle hurlait, et ses hurlements résonnaient dans mon âme à chacun de mes pas. J'adorais la souffrance qu'elle subissait et montrait à tout le monde. Une seconde enfant, plus grande, m'attaqua armé d'une épée en bois, pleurant la disparition de son père. Je posais ma main sur son crâne et la ferma progressivement. Lentement, la pression se faisait plus fort et elle commença à se tortiller de douleur. Jusqu'au moment ou son sang gicle sur mes mains. Cette peau de pierre était tellement pratique, les os devenaient facilement fragile. J'arrivais devant la mairie et là, j'entrais en tuant les gardes. Mon épée dans mon fourreau, ce fut mon bras qui transperça leur coeur. Je pouvais me baigner dans leur sang tellement j'en faisais couler ! C'était bon ! Tout les villageois se cachaient derrière le peu de guerrier qui restait, en vain. J'allais commencer par la femme enceinte. Je m'avançais lentement vers cette dame et posais ma main sur son ventre. Ma panthère tuait tout ceux qui voulait m'empêcher de faire ça.
Je sens les battements de votre enfant. Je pourrais danser dessus.
Et puis je commençait à claquer des doigts. Clip...Clap. Mon sourire s'agrandit. Clip...Clap. Mes doigts se crispèrent. Clip...Clap. La peur se fit sentir. Clip...Clap. La mort venait lentement. Clip...Boum ? Je me redressais lentement en voyant le toit de la mairie en ruine. Lorsque la fumée retomba, un ange aux ailes déployées me faisait face. Pourquoi mon fils ?Je n'ai jamais été votre fils ! Et ma main arrachant votre coeur va vous le prouver !Je lui fonçais alors dessus, épée en main. Le combat dura, et son épée noir frappait la mienne avec la force de sa tristesse. La mienne frappait son corps de toute l'envie de meurtre qui m'animait. Tout d'abord, notre combat fut dans le bâtiment où il faisait attention aux "innocents". Puis il fut ensuite dans les airs, où là il pu se lâcher. Mais rien ne rendait ses attaques meilleures. Son épée dans mon épaule, je ne la sentais même pas. La folie du meurtre faisait comme une drogue, je me sentais invincible. Et au final, mon épée passa entre ses deux yeux, ne lui laissant même pas le temps de me dire un dernier mot. Je pu finalement brûler la mairie et repartir, mon corps plus rouge qu'autre chose.
Compagnons
Prénom :Pantéra Sexe :Féminin Race : Panthère Pouvoirs :Un lien télépathique assez utile. Elle peut aussi changer d'apparence. Et a elle aussi le pouvoir de rendre sa peau dur comme la pierre. CaractèreUne tête de mule celle-là. Que ce soit pendant le combat ou pour un morceau de viande, quand elle veut quelque chose ça fait mal. Agressive, mais fidèle, c'est une bête féroce et Jack ne l'oublie pas. PhysiqueUne longue panthère, robuste et sûrement très puissante. Son corps fait à peut prêt celui de son maître si elle se mettait sur deux pattes. Son corps et armé d'une fine armure en métal. En dessous, ses poils sont bleus. Bien entretenu, ils brillent à la lumière du soleil. Des dents et des griffes acérés, personne ne veut être sa proie.
Hors Rôle Play
Votre prénom ou pseudo courant :Max
Comment avez-vous découvert le forum : Une copine me l'a montré, j'ai décidé de m'y inviter :3
Si un jour vous quittiez le forum, comment voudriez vous que votre personnage meurt ? :Pulvérisé pour une attaque ténèbre
Code ? : Okay by Meleth
Dernière édition par Jack Nemesis le Jeu 30 Aoû - 20:29, édité 5 fois | |
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